14 décembre 2007
Festival piano
Le lieu a un charme burlesque, sur un fil tendu entre le cocasse et le poétique.....des chants d'oiseaux pour patienter....les voûtes d'une ancienne chapelle convertie au théâtre. Puis c'est un lourd rideau rouge, ou qui l'a été, qui se lève sur un pianiste plein de finesse: Eric N'Kaoua. Avec bonheur nous sommes passés de Bach à Scriabine, de Chopin à Oscar Peterson et Art Tatum.
Des touches blanches et noires pour oublier l'espace d'une soirée, la fatigue qui fauche le goût des mots.
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